Monsieur Laliberté n'aime pas voir son amie madame Courteau comme ça, quand elle se replie sur elle-même, s'isole, se coupe des autres. Il essaie de la sortir de cet état, ça le peine. Ça le choque. Madame Courteau sait que ça ne dureras pas, ce n'est pas l'idée de mourir qui la déprime, c'est le contre- coup du gin. In my soliture you haunt me...
Illustrations, dessins, lithographies, littérature et comics
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